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Folk / Indie Pop

H-BURNS "BURNS ON THE WIRE"

+ RAOUL VIGNAL
Production : Marché Gare
Marché Gare, Grande Salle • Placement libre

Après 15 année passées à sillonner les routes de France et 7 albums solo d’une qualité constante, le musicien H-BURNS s’est dit qu’il était temps de rendre hommage à celui qui a été l’étincelle de tout : Leonard Cohen. Disparu en 2016, le poète canadien a donné envie, aux côtés de Dylan ou Neil Young, a de nombreux artistes de prendre leur guitare et monter sur scène. Renaud Brustlein fait partie de ceux-là.

Pour ce témoignage, il a enregistré en studio de nombreux classiques du répertoire de Leonard Cohen aux côtés du Stranger Quartet, qui l’accompagne également sur scène. Des invité.es ont été convié.es sur le disque malicieusement intitulé « Burns on the Wire » : Pomme, Lou Doillon, Bertrand Belin mais aussi Kevin Morby ; une histoire de tradition orale et de transmission, au cœur de l’idée même du folk.

Accueillir à nouveau le musicien régional au Marché Gare sera aussi l’occasion de consacrer une soirée à la carrière de cet immense monsieur qu’était Leonard Cohen.

H-BURNS
Grenoble

Indie-Folk-Rock

DISCOGRAPHIE

2006 : Songs From The Electric Sky (Noise Digger)

2008 : How Strange It Is to Be Anything at All (Boxson)

2009 : We Go Way Back (P Box)

2012 : Six Years EP (Vietnam)

2013 : Off the Map (Vietnam/Because Music)

2015 : Night Moves (Vietnam/Because Music)

2017 : Kid We Own The Summer (Vietnam/Because Music)

2019 : Midlife (Vietnam/Because Music)

2021 : Burns on the Wire (Play Two)

RAOUL VIGNAL
Indie Folk | Lyon

On identifie bien souvent Raoul Vignal à son jeu de guitare (arpèges subtils et finger-picking), à son chant empreint d’une lumineuse mélancolie. On oublie parfois d’évoquer ses talents d’écriture. À la façon des peintres impressionnistes, il capte et s'inspire de l’atmosphère de son quotidien. Nomades, ses compositions sont autant d’histoires, autant de cartes postales.

La conception de son nouvel album "Shadow Bands" a pour contexte le retour à Lyon, sa ville natale, une dizaine d’années après avoir quitté celle-ci. Raoul Vignal arpente et retrouve les rues de son enfance, la vogue des marrons sur le plateau de la Croix Rousse, se remémore ses plus jeunes années, et fait le constat du temps qui s’écoule, inlassablement.
Il puise ses inspirations dans les courts séjours qu’il s’octroie ici et là : Berlin et un triste matin l’annonce d’une guerre qui éclate à 1 000 km, l’Espagne et des retrouvailles avec son frère, Sète et l’échange avec une amie sur la voie de la surdité qui lui décrit le brame du cerf, distant, entendu la semaine précédente. Lyon comme port d’attache mais l’envie d’un ailleurs toujours prégnante.

Nouvelle balade dans le temps -subtilement accompagnée à la batterie par les rythmes de Lucien Chatin-, on retrouve sur "Shadow Bands" ce dépouillement et cette poésie cristalline qui s’immisce précieusement en nous.